De mon île, j’ai été très heureux de lire les nouvelles sur la victoire de Robinson contre Cinar et ses comparses. Je ne ais pas trop pourquoi, mais il semble que ce soit une grande nouvelle, une très grande novelle. Elle offre au moins un vent de rafraîchissement sur la justice et les rapports entre les poches pleines et les poches vides. Pensons simplement à ceux qui ont vu leur bas de laine fondre dans les mains des courtiers en valeurs mobilières qui font la une depuis des années. On pense bien à des valeurs qui sont mobiles… Josée Boileau (Le Devoir d’aujourd’hui) note entre autres que dans son jugement, le juge a rappelé la faute d’orthographe commise par Robinson dans son synopsis et que les ‘plagieurs’ ont simplement copiée… Comment des d’affaire et leurs avocats peuvent-ils pousser le bouchon aussi loin sans démontré une ‘petite gêne' ? "Twou manti pas fon" ou tôt ou tard, la vérité finit par sortir.
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